
Rue d'Amatrice, un an après la crise sismique d'août 2016 (Italie, juillet 2017).
© BRGM - Daniel Monfort
Percevoir rapidement l’étendue d’une catastrophe naturelle n’est pas chose facile, les informations en provenance du terrain arrivant au compte-gouttes. C’est pourtant sur la base de ce diagnostic que doit s’organiser la gestion de la catastrophe – en commençant par celle des secours, puis de l’assistance aux sinistrés.
Mais depuis une dizaine d’années, ces accidents s’accompagnent de la diffusion rapide et massive de messages sur les réseaux sociaux – et tout particulièrement sur Twitter, dont le principe de messages courts permet de témoigner « sur le vif ».
Une plate-forme informatique (appelée SURICATE-Nat) et ses algorithmes tentent d’exploiter cette formidable mine d’informations.