La recharge des nappes phréatiques se poursuit mais reste ralentie sur de nombreuses nappes. Avec 46% des niveaux au-dessus des normales, la situation est stable par rapport au mois précédent.
14 mars 2024

Situation hydrogéologique au 1er mars 2024

En février 2024, les tendances sur les nappes réactives sont hétérogènes. La recharge reste active sur les nappes inertielles mais ralentit sur plusieurs secteurs.

L’état des nappes est satisfaisant sur une grande partie du territoire, du fait d’un début de période de recharge arrosé. Il est défavorable, avec des niveaux bas à très bas, sur les nappes inertielles du Sundgau et du couloir de la Saône et sur les nappes du Languedoc, du sud du Massif central au littoral, et du Roussillon.

Durant l’hiver et jusqu’à la reprise de la végétation, les tendances et l’évolution des situations dépendront essentiellement de la pluviométrie. La recharge excédentaire permet d’espérer des niveaux satisfaisants en sortie d’hiver sur une grande partie du territoire. Cependant, en cas de précipitations insuffisantes en mars et avril, l’état des nappes pourrait se dégrader rapidement sur les nappes réactives et lentement sur les nappes inertielles. La situation devra être particulièrement surveillée sur les nappes du sud-est, fragilisées par un étiage sévère et l’absence d’épisodes notables de recharge.

Carte de France hexagonale de la situation des nappes d'eau souterraine au 1er mars 2024.

Carte de France hexagonale de la situation des nappes d'eau souterraine au 1er mars 2024.

Carte établie le 8 mars 2024 par le BRGM, à partir de données de la banque ADES acquises jusqu’au 29 février 2024. Source des données : banque ADES (ades.eaufrance.fr) / Hydroportail (hydro.eaufrance.fr) / Fond de carte © IGN. Producteurs de données et contribution : APRONA, BRGM, Conseil Départemental de la Vendée, Conseil Départemental des Landes, Conseil Départemental du Lot, EPTB Vistre Vistrenque, Parc Naturel Régional des Grandes Causses, Syndicat Mixte d’Etudes et de Travaux de l’Astien (SMETA), Syndicat Mixte pour la protection et la gestion des nappes souterraines de la plaine du Roussillon (SMNPR).

Cette carte présente les indicateurs globaux traduisant les fluctuations moyennes des nappes. Ils sont établis à partir des indicateurs ponctuels relevés au niveau des points de surveillance du niveau des nappes (piézomètres).

L'indicateur "Niveau des nappes" compare le mois en cours par rapport aux mêmes mois de l’ensemble de la chronique, soit au minimum 15 ans de données, et jusqu'à plus de 100 ans. Il est réparti en 7 classes, du niveau le plus bas (en rouge) au niveau le plus haut (en bleu foncé).

Les zones grises correspondent à des secteurs sans nappes libres, c'est-à-dire avec une couche imperméable ou semi-perméable au-dessus de la nappe, et/ou des secteurs comportant une très faible densité de points de suivi. Ce dernier cas concerne notamment les zones montagneuses dont les nappes sont petites et hétérogènes.

L'indicateur "Évolution des niveaux" traduit la variation du niveau d'eau du mois échu par rapport aux deux mois précédents (stable, à la hausse ou à la baisse).

Ces indicateurs globaux rendent compte de situations et de tendances générales et ne tiennent pas compte d'éventuelles disparités locales.

© BRGM

Évolution des tendances observées sur les piézomètres de juillet 2023 à février 2024.

Évolution des tendances observées sur les piézomètres de juillet 2023 à février 2024.

© BRGM

Tendances d’évolution

En 2023, la période de vidange s’est poursuivie tardivement, conséquence de pluies déficitaires et d’une végétation encore active en début d’automne en lien avec des températures élevées. La recharge s’est initiée à partir de fin octobre et est restée très active en novembre et décembre. En janvier, elle s’est ralentie sur une grande partie du territoire. Seules les nappes du pourtour méditerranéen ont observé une faible recharge.

En février 2024, la recharge des nappes se poursuit mais reste ralentie sur de nombreuses nappes. Les niveaux sont en hausse pour 57% des points d’observation (51% en janvier).

Les nappes réactives des deux-tiers nord et du sud-ouest présentent des tendances hétérogènes. De l’Alsace aux Alpes du nord et sur le Massif Central, les niveaux se sont stabilisés du fait d’une pluviométrie faible. Mais les niveaux stables ou en baisse ne sont pas toujours corrélés avec une pluviométrie inférieure aux normales. En effet, le mois de janvier ayant été relativement sec, les pluies de février ont probablement eu des difficultés à s’infiltrer en profondeur à travers des sols peu humides.

Concernant les nappes inertielles du Bassin parisien, du Sundgau et du couloir Rhône-Saône, les niveaux sont en hausse. L’inertie de ces nappes implique un temps d’infiltration des pluies à travers la zone non saturée sur plusieurs semaines. Les hausses de niveaux observées en février sont donc la conséquence des pluies efficaces infiltrées durant ces derniers mois. L’intensité de la recharge ralentit cependant sur certains secteurs faiblement arrosés en janvier et en février, notamment sur le couloir Rhône-Saône.

Enfin, sur le sud-sud-est et en Corse, les tendances sont hétérogènes car elles dépendent des cumuls pluviométriques et de l’humidité des sols. Les niveaux sont généralement en faible hausse ou stables. Ils demeurent en baisse sur les nappes de la plaine du Roussillon et du massif des Corbières, les précipitations restant déficitaires.

Situation comparée entre le 1er mars 2023 et le 1er mars 2024

Pour visualiser l'évolution sur un an, faites glisser le curseur sur la carte.
Carte de France hexagonale de la situation des nappes au 1er mars 2023.
Carte de France hexagonale de la situation des nappes au 1er mars 2024.

Carte de France hexagonale de la situation des nappes au 1er mars 2023 (à gauche) et au 1er mars 2024 (à droite).

© BRGM

Évolution de la situation observée sur les piézomètres de juillet 2023 à février 2024.

Évolution de la situation observée sur les piézomètres de juillet 2023 à février 2024.

© BRGM

Situation des nappes

La situation des nappes à l’étiage 2023 était peu satisfaisante, les niveaux des nappes étant généralement sous les normales mensuelles. La recharge importante survenue entre fin octobre et décembre a eu un effet notable sur les nappes. La situation générale s’est alors considérablement améliorée, notamment sur les nappes réactives des deux-tiers nord et du sud-ouest. En janvier, la situation se détériorait, avec des niveaux qui repartaient à la baisse, mais restait satisfaisante.

En février, la situation est stable par rapport au mois précédent. L’état des nappes est généralement satisfaisant : 36% des points d’observation sont sous les normales mensuelles, 18% sont comparables et 46% sont au-dessus (respectivement 39%, 15% et 46% en janvier). La situation est plus favorable que celle observée l’année dernière, en février 2023, où 80% des niveaux étaient situés sous les normales. Seules les nappes du Languedoc et du Roussillon conservent des niveaux plus bas qu’en février 2023.

L’état des nappes en février 2024 demeure hétérogène. Les niveaux sont satisfaisants, de modérément hauts à très hauts, au sud-ouest, de la Bretagne à l’ouest du Massif central et aux Pyrénées-Atlantiques et au nord-est, de l’Artois aux vallées alpines. Les niveaux sont de modérément bas à comparables aux normales mensuelles sur une bande centrale s’étendant de la Normandie à la Corse. Enfin, les niveaux sont moins satisfaisants, de bas à très bas sur le sud de l’Alsace, le couloir de la Saône, le sud du Massif central, le Languedoc et le Roussillon. Ces situations disparates s’expliquent essentiellement par l’intensité de la recharge 2023-2024 et par la réactivité de la nappe aux pluies.

Concernant les nappes réactives des deux-tiers nord et du sud-ouest, les pluies infiltrées de mi-octobre à décembre ont permis d’améliorer les situations. En février, les situations par rapport à janvier restent stables ou se dégradent légèrement, principalement sur les secteurs insuffisamment arrosés. Elles demeurent généralement satisfaisantes, avec des niveaux modérément hauts à hauts, voire très hauts sur la nappe mixte de la craie du littoral d'Artois-Picardie. Les nappes du centre et du nord du Massif central n’ont pas bénéficié d’une recharge suffisante et leurs niveaux restent proches des normales à modérément bas. Les nappes de la plaine d’Alsace accusent des déficits pluviométriques de février et leurs niveaux se dégradent et sont proches des normales.

Concernant les nappes inertielles, les situations continuent à s’améliorer très lentement. Les niveaux sont modérément hauts à modérément bas sur le Bassin parisien, avec des situations plus défavorables sur la partie centre-ouest. Les nappes inertielles du Sundgau (sud Alsace) et du couloir de la Saône sont basses et les nappes du couloir du Rhône sont comparables aux normales, mais les situations locales peuvent être hétérogènes. Par exemple, les points d’observation des couloirs fluvio-glaciaires de l’Est-Lyonnais sont modérément bas tandis que ceux du Nord-Isère sont modérément hauts. Enfin, des niveaux très hauts sont enregistrés sur les nappes de la craie du littoral de l’Artois et sur la nappe de l’Avant-Pays savoyard, suite à un étiage 2023 peu sévère et à plusieurs épisodes conséquents de recharge depuis mi-octobre 2023. A noter que ces niveaux très hauts peuvent contribuer à des phénomènes d’inondation.

Concernant le sud-est (sud du Massif Central, bordure cévenole, pourtour méditerranéen et Corse), les niveaux actuels sont la conséquence des niveaux sous les normales lors de l’étiage 2023 et d’un déficit de recharge durant l’automne et le début d’hiver. En février, la situation s’améliore sur les nappes de la Provence, de la Côte d’Azur et de la Corse. La recharge comble progressivement les déficits mais certains secteurs présentent encore des niveaux moins favorables (Bouches-du-Rhône et Var). Sur le Languedoc, les pluies enregistrées en février restent insuffisantes pour engendrer une recharge et les niveaux sont préoccupants, de bas à très bas. Enfin, en contexte de déficit pluviométrique depuis plus d’un an, les niveaux demeurent très préoccupants sur les nappes des calcaires du massif des Corbières et de la plaine du Roussillon.

Des nappes présentent des situations très favorables, avec des niveaux hauts à très hauts par rapport aux mois de février des années antérieures :

  • Les niveaux des nappes des calcaires carbonifères de l’Avesnois et de la craie marneuse cénomanienne du littoral d'Artois-Picardie sont la conséquence d’une recharge 2022-2023 très excédentaire et des pluies exceptionnelles survenues depuis fin-octobre 2023 ;
  • Les nappes des alluvions fluviatiles et fluvioglaciaires de l'Avant-Pays savoyard et des vallées des Alpes ont bénéficié d’une recharge 2023-2024 très excédentaire ;
  • Les nappes réactives du socle du bassin de la Vilaine au bocage vendéen et des calcaires jurassiques de Charentes affichent des niveaux hauts, du fait de précipitations abondantes survenues entre mi-octobre et décembre 2023 et du soutien par les pluies de février.

Plusieurs nappes présentent des situations peu favorables avec des niveaux bas à très bas par rapport aux mois de février des années précédentes, du fait d’un déficit pluviométrique très marqué ces derniers mois ou ces dernières années :

  • La situation s’améliore très lentement sur les nappes inertielles des cailloutis plioquaternaires du Sundgau ainsi que du Dijonnais, de la Bresse et de la Dombes mais les niveaux restent bas, du fait de plusieurs recharges hivernales successives déficitaires et d’un comportement très inertiel ;
  • Les niveaux des nappes du socle du sud du Massif Central, des calcaires des Grands Causses et de la bordure cévenole, des formations tertiaires et alluviales du littoral du Languedoc sont bas à très bas, les pluies de février étant insuffisantes pour recharger les nappes après plusieurs mois déficitaires ;
  • La situation des nappes de l’aquifère multicouche du Roussillon et des calcaires karstifiés du massif des Corbières reste extrêmement dégradée, avec des niveaux très bas, conséquence de déficits pluviométriques depuis plus d’un an. Certains points observent des niveaux en baisse continue depuis mai 2022 et atteignent des niveaux historiquement bas.

Recharge des nappes : 3 questions pour mieux comprendre

Le niveau des nappes varie au cours de l’année, entre des niveaux hauts l’hiver (quand la végétation n’absorbe pas l’eau des pluies) et des niveaux bas l’été (période classique de vidange des nappes).

Le devenir d'une pluie est très différent selon la période de l'année et l'état de la surface sur laquelle elle tombe. Traditionnellement, la période de recharge des nappes s'étend du début de l'automne (septembre - octobre) au début du printemps (mars - avril), semestre durant lequel la végétation est en sommeil (avec une évapotranspiration faible) et les précipitations sont en principe plus abondantes. Si l'hiver est sec, la recharge des nappes est très faible.

À partir du printemps et durant l’été, la hausse des températures, la reprise de la végétation, et donc l’augmentation de l’évapotranspiration, limitent l’infiltration des pluies vers les nappes. Entre mai et octobre, sauf événements pluviométriques exceptionnels, la vidange des nappes se poursuit habituellement et les niveaux continuent de baisser jusqu’à l’automne.

Les nappes s'écoulent plus ou moins rapidement selon la porosité (pourcentage de vides dans la roche) et la perméabilité (capacité à laisser circuler l’eau – connexion entre ces vides) des aquifères. Plus les vides sont importants, grands et reliés entre eux, plus la nappe s’écoulera vite, et plus elle se remplira, mais aussi se videra vite.

Un même volume d’eau peut parcourir une même distance :

  • en quelques années en milieu poreux,
  • en quelques mois en milieu fissuré,
  • et en quelques jours, voire quelques heures, en milieu karstique.

L'impact de la qualité de la recharge hivernale est différent selon la cyclicité de la nappe, c’est-à-dire sa réactivité à l’infiltration d’une pluie.

On parle de nappes :

  • réactives (dans des aquifères constitués de sables, graviers, calcaires karstiques, granites altérés). Elles se distinguent par des réactions rapides : elles peuvent se recharger lors de fortes pluies estivales, mais ont également une sensibilité importante à la sécheresse. Leur état de remplissage peut donc varier très rapidement au cours d’une même saison.
  • inertielles (dans des aquifères constitués de craie, calcaire non karstique, grès). Leurs réactions sont lentes. Leur cyclicité peut être pluriannuelle, c’est-à-dire qu’elles nécessitent une longue période pour se recharger ou se vidanger.
Cyclicité des nappes d'eau souterraine en France hexagonale.

Cyclicité des nappes d'eau souterraine en France hexagonale.

© BRGM

Cyclicité des nappes d'eau souterraine en France Hexagonale. © BRGM

Prévisions

Les prévisions saisonnières de Météo-France sur les mois de mars, avril et mai 2024 privilégient des températures plus élevées sur l’ensemble du territoire. Aucun scénario ne se dégage concernant les précipitations.

Plusieurs passages dépressionnaires ont été observés ou sont annoncés en mars 2024 sur l’ensemble du territoire. La recharge devrait donc pouvoir se poursuivre. L’état des nappes devrait s’améliorer, rapidement au droit des secteurs bénéficiant d’épisodes de recharge soutenus et abritant des nappes réactives et plus lentement au droit des nappes inertielles ou de secteurs faiblement arrosés. En cas de cumuls pluviométriques importants, de fortes remontées de niveaux pourraient être enregistrées sur les nappes les plus réactives (socle, calcaires karstiques, alluvions). Cependant, en cas de précipitations insuffisantes, la recharge devrait se mettre en pause et les situations pourraient se dégrader plus ou moins rapidement.

A plus long terme, les tendances et donc l’évolution de l’état des nappes jusqu’à la reprise de la végétation dépendront exclusivement des cumuls pluviométriques. Si les pluviométries sont insuffisantes, les pluies infiltrées ne permettront pas de compenser les volumes de sortie (exutoires naturels et prélèvements). Au contraire, une pluviométrie suffisante permettra de maintenir une recharge active et de maintenir voire améliorer les situations des nappes.

Pour les nappes inertielles (Bassin parisien, sud Alsace et couloir Rhône-Saône), les situations devraient continuer d’évoluer lentement. Des pluies normales à excédentaires jusqu’au printemps devraient permettre de retrouver des niveaux proches des normales sur une grande partie des nappes inertielles. Les nappes plioquaternaires du Sundgau et du couloir de la Saône (Dijonnais, Bresse et Dombes) devraient cependant rester sous les normales mensuelles. Il est improbable que les volumes d’eau infiltrés sur la fin de la période de recharge 2023-2024 arrivent à compenser les déficits accumulés ces dernières années. En cas de pluies déficitaires en mars au droit des nappes inertielles, la recharge devrait continuer à ralentir voire se stopper. Si les déficits se poursuivent au début du printemps, la période de vidange pourrait prendre le relai jusqu’à l’automne.

Concernant les nappes réactives des deux-tiers nord et sud-ouest du territoire, les niveaux devraient rester satisfaisants en mars, sauf déficits pluviométriques notables. Les niveaux observés au-dessus des normales au deux-tiers de la période de recharge laissent présager des niveaux satisfaisants en sortie d’hiver. Cependant, la situation peut se dégrader rapidement en cas de pluviométrie insuffisante en fin d’hiver. Enfin, les pluies du début du printemps sont importantes pour maintenir des niveaux hauts et repousser le début de la période de vidange.

Concernant les nappes du Languedoc et du Roussillon, l’impact des précipitations de fin février sera probablement limité. Les pluies survenant après une longue période sèche permettront dans un premier temps d’humidifier les sols avant de réussir à s’infiltrer en profondeur. En cas de cumuls pluviométriques importants et bien répartis en mars, des pluies pourraient s’infiltrer en profondeur et engendrer des recharges sur les nappes. Les pluies devraient arriver à s’infiltrer plus facilement au droit des nappes de la Provence, de la Côte d’Azur et de Corse après les premiers épisodes pluvieux survenus en février. A plus long terme, les nappes du pourtour méditerranéen pourraient atteindre des niveaux satisfaisants en fin d’hiver si les pluies perdurent. Il semble cependant très difficilement envisageable de reconstituer durablement les réserves des nappes du Roussillon et d’observer des niveaux au-dessus des normales d’ici le printemps 2024.

Prochain bulletin sur le niveau des nappes d'eau souterraine

Notre bulletin sur la situation des nappes d'eau souterraine paraît désormais tous les mois, en milieu de mois.

La prochaine édition sortira à la mi-avril 2024.

Réseau de surveillance des eaux souterraines, Pyrénées Orientales

État des nappes d’eau souterraine : un suivi assuré par le BRGM

L’eau souterraine est une ressource très utilisée : en France hexagonale, elle représente près des deux tiers de la consommation d’eau potable et plus du tiers de celle du monde agricole. Elle est aussi largement exploitée dans le secteur industriel. Les nappes d’eau souterraine dépendent de recharges cycliques.

Le BRGM assure la surveillance du niveau des nappes phréatiques et de la qualité des eaux souterraines en France hexagonale. Découvrez les actions menées par le service géologique national et les ressources et bases de données disponibles sur l'eau souterraine en France.

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