Pour répondre aux défis de la transition écologique, le BRGM et l’ADEME ont renouvelé le 10 avril 2019 leur accord-cadre. Ils poursuivront leurs travaux sur la gestion efficace des ressources.
10 avril 2019
Renouvellement de l’accord-cadre entre le BRGM et l’ADEME

Michèle Rousseau, Présidente-Directrice générale du BRGM, et Arnaud Leroy, Président-Directeur général de l’ADEME, ont renouvelé le 10 avril 2019 l’accord-cadre liant les deux établissements. 

© BRGM 

Michèle Rousseau, Présidente-Directrice générale du BRGM, et Arnaud Leroy, Président-Directeur général de l’ADEME, ont renouvelé le 10 avril 2019 l’accord-cadre liant les deux établissements. Il vise à renforcer la coopération scientifique sur les questions des sols et sous-sols. Dans ce cadre, le BRGM et l’ADEME poursuivront leurs travaux sur la gestion efficace des ressources. L’accent est également mis sur les préoccupations de santé publique. 

Signé pour une durée de 4 ans, cet accord-cadre entre les deux établissements renforce une collaboration scientifique initiée en 1987. Il confirme la position du BRGM et de l’ADEME dans le rôle d’appui aux politiques publiques, tant au plan national qu’européen. 

De nouvelles priorités pour répondre aux enjeux de la transition écologique 

Les domaines de coopération s’inscrivent dans le cadre des orientations stratégiques des deux établissements. Ils se déclineront autour de trois sujets prioritaires : 

  • Géothermie : géothermie de surface, géothermie profonde et stockage souterrain d’énergie associé ; 
  • Gestion des sites, sols et sédiments pollués : étude des mécanismes environnementaux, métrologie de l’environnement, conception et développement d’écotechnologies, conception et développement des modalités de reconversion des sites miniers en parc photovoltaïque, élaboration et diffusion d’un guide de bonnes pratiques et normes associées ; 
  • Gestion efficace des matières dans le cadre du développement de l’économie circulaire : criticité des matières dans le domaine de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables, conception et développement d’écotechnologies (procédé de tri, recyclage des déchets), sécurisation des pratiques de valorisation des déchet, outils d’évaluation environnementale. 

En parallèle, l’accord prévoit le développement d’actions à l’international, en particulier sur l’exportation de la géothermie et la coopération avec l’Afrique, l’Asie et l’Amérique Latine. Un volet formation ainsi que des actions de communication et d’information sont également prévus.