Signature de l’accord-cadre par Ghislaine Verrhiest-Leblanc, directrice générale de l’Association française pour la prévention des catastrophes naturelles et technologiques (AFPCNT), et Christophe Poinssot, directeur général délégué et directeur scientifique du BRGM.
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Le 2 octobre 2024, la directrice générale de l’Association française pour la prévention des catastrophes naturelles et technologiques (AFPCNT), Ghislaine Verrhiest-Leblanc, et le directeur général délégué et directeur scientifique du BRGM, Christophe Poinssot, ont signé un accord-cadre destiné à renforcer une relation de partenariat pérenne dans leurs domaines de compétence respectifs sur des thématiques d’intérêt commun.
Les deux organismes souhaitent coopérer sur des projets relatifs à la prévention des risques majeurs, au développement de la culture du risque et à l’amélioration de la résilience des territoires français pour lesquels leurs compétences, actions et expertises s’avèrent être complémentaires.
Prévenir les risques naturels et technologiques
La politique de prévention des risques naturels couvre un large spectre de phénomènes, avec des conséquences parfois graves, et elle fait appel à de nombreuses disciplines : géologie, hydrologie, géotechnique, hydrogéologie, hydraulique, géophysique, géomorphologie, génie civil, géographie, climatologie, océanographie, sismologie, sciences humaines et sociales... La prévention de ces risques naturels mobilise sur le terrain des compétences opérationnelles également très diverses.
De la même façon, les risques technologiques potentiels, associés au sol et au sous-sol, concernent des domaines aussi variés que les risques miniers, la géothermie, le stockage souterrain, etc.
L’accord entre l’AFPCNT et le BRGM, qui fixe le cadre des actions à mener en commun et des futurs échanges dans la production des connaissances, est valable pour une durée de deux ans.